Moja (prononcer “Modja”) s’est formé en 2013 avec la rencontre de musiciens passionnés de Reggae : porté par la voix soul de sa chanteuse mais aussi par la créativité de ses musiciens (batterie, basse, clavier, guitare rythmique, guitare mélodique et depuis 2015 saxophones et percussions), le groupe revendique ses influences Reggae Roots et Rockers et est toujours en quête des riddims les plus percutants, agrémentés de parties dub.
Le groupe Babakar a été fondé en 2008 par Aurélien Giunta, jeune auteur-compositeur-interprête d’origine parisienne. A ses débuts, Babakar ne compte qu’un seul membre, Aurélien chantant en solo. Babakar se produisait essentiellement dans les bars car il souhaitait partager son univers et sa musique avec son public. A l’occasion de ces concerts, il rencontra ses 2 premiers musiciens. Babakar était donc enfin un groupe.
En 2009, le groupe accueille un 3ème musicien et poursuit son aventure.
2010 marque un 1er tournant dans la vie du groupe avec un passage en studio pour enregistrer 2 titres: Allez viens et Tramway.
2011: le groupe accueille son 5ème et 6ème membre. Babakar se produit au Festival Saint Georges ainsi qu’à la Fête de l’Humanité, mais également tout au long de l’année dans les bars nantais.
Le groupe retourne en studio pendant l’année 2012 pour enregistrer 3 nouveaux titres composés par Aurélien: Je m’en fous, Ta Famille et Le Millionnaire. Les concerts se multiplient dans les bars nantais et parisiens.
En 2013, le groupe connait un nouveau virage majeur avec de nouveaux membres, venus remplacer certains anciens membres. Le groupe est actuellement composé de 5 membres. L’autre élément majeur est le changement de stratégie du groupe, qui souhaite voir sa notoriété se développer sur Internet et se lance sur les réseaux sociaux de masse (Facebook, Twitter, YouTube, Dailymotion, SoundCloud, MySpace…). Le groupe cotinue aussi à se produire à l’occasion de différents festivals (Fête de l’Humanité, Festival Bar-bars…) ainsi que lors d’événements privés.
A partir d’octobre 2013, les titres Le Millionnaire puis Je m’en fous sont diffusés par la webradio Enjoystation.
En 2014, le groupe participe au Concours Emergenza.
https://babakaronline.wordpress.com/
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« From jungle to Downtown », premier EP des APES O’CLOCK a été l’occasion de présenter et de défendre leur projet à travers la France. La tribu Rennaise se fraie un chemin entre jungle et béton, imposant son univers sauvage et bestial, et fait défaillir les mécaniques les mieux huilées. Comme sortis d’un film noir, sept personnages aux allures de dandies punk viennent vous remettre les pendules à l’heure, en prenant un malin plaisir à dépeindre les vertus et travers de l’homme, et pousser votre côté humain dans ses derniers retranchements.
Pour ce second EP, Apes O’Clock vous invite dans un chapitre consacré au rêve. Pour l’occasion, la tribu s’est attelée une fois de plus à la création d’un spectacle complet, mêlant lumières et scénographie. Vous y découvrirez des titres résolument rock cuivré, teintés de multiples sonorités (Punk, Hip-Hop, Jungle, Latino…), le tout appuyé par une mise en scène et un live électrisant, furieux à souhait.
« Don’t wake me Up » est ainsi une invitation au rêve. Ceux-là même qui nous font vivre, nous nourrissent. Ceux qui subliment nos joies ou adoucissent nos peines. Ceux qu’on aimerait finalement ne jamais voir s’arrêter. C’est une invitation à entre dans la danse et les transes de nos fantasmes, sans cadre, sans gêne et sans autre règle que de vivre là et maintenant.
Réveille l’animal qui sommeille, car l’heure approche mon ami…
Bien que d’origine nantaise, Zohta Family plonge ses racines dans les terres d’Afrique et de la Jamaïque. La planète de Zohta est une terre de métissage où l’on parle couramment le Reggae, cette langue d’amour, de paix et de protestation.
La Zohta, c’est à l’origine une eau de vie africaine que Jonas, le chanteur du groupe a ramené de ses pérégrinations dans les terres du sud.
Depuis sa création en 2010, la family des 10 frangins s’est constituée pour former une tribu où chacun joint son instrument au langage universel de la musique. Celle-ci évolue vers les tonalités festives rythmée par le beat et les contre temps du Reggae music.
Après un premier EP de 6 morceaux enregistré en 2012, Zohta Family récidive avec son album 12 titres qu’ils ont choisis d’intitulé « Contre temps ».
Le contre temps, c’est bien-sûr celui du Reggae et d’une pensée critique sur notre temps qui semble se laisser entraîner dans les sombres dérives d’une humanité qui perd jusqu’au sens de ce mot. Quitte à sembler démodé et naïf, à l’ère du capitalisme effréné et d’une planète qui sombre, le groupe se range du côté de l’utopie de ses origines : « Peace and Love ».
A peine deux ans d’existence pour des musiciens pourtant avertis qui faisaient sonner leur premières notes plutôt dans des couleurs funk. Place désormais à une hybridation techno pop tribale jouée à six dont la seule ambition est d’être jouée sur scène par ces mêmes six personnes.
Nous sommes des amis d’enfance hormis Clémence, et nous jouons tous les 5 (les gars) depuis plus de cinq ans alors qu’INÜIT n’a qu’un an et demi. Certains viennent de l’Ecole de Musique de Rezé, la Balinière, Rémi sort du Conservatoire, Alexis est autodidacte, nos parcours musicaux sont différents, mais notre envie est commune : jouer, jouer, jouer en live.
à la toute base, on voulait un nom simple, facile à retenir, on a brainstormer beaucoup chez Pablo qui vit dans une yourte, c’est venu de lui, on a aimé la sonorité, le fait que le nom soit court, l’ensemble de phonèmes, sans penser à ce que cela voulait dire. Et puis, après on a réfléchi au sens, et on s’est dit que ce n’était pas complètement un hasard, qu’il y avait un lien avec les inuits, civilisation tribale qui échange avec d’autres petits groupes. On est un peu comme çà, on est tout le temps ensemble, on est une tribu, on n’existe pas les uns sans les autres. Nantes serait un peu notre banquise
La Bande d’Éolas est une fanfare de rue composée de 30 musiciens avec différents instruments comme sur la photo ci-dessus.
Pour tous renseignement, une seule solution, envoyer un e mail à l’adresse suivante : bfmalouine44550@gmail.com
C’est en 1997 que Le Ministère voit le jour, se proclamant ainsi porte-parole d’un nouveau style : le Rock A Dérision Incontrôlée Rennais (c’est du RADIR). Les quatre musiciens écument les scènes de musiques actuelles locales, nationales, puis internationales.
Au total, 6 tournées, plus de 1400 représentations, 5 albums, 1 DVD.
En 2003, Le Ministère décide de s’aventurer dans un réseau qui lui est totalement inconnu : le jeune public. S’en suit deux spectacles jeune public, « Ecoute ta mère et mange ton short » (2003), et « Ensemble, Unissez-moi » (2008).
En 2012, le groupe se lance dans un nouveau challenge… créer un spectacle cabaret-chanson tout public (à partir de 12 ans), « Promenons-nous dans les boas ». Laissez de côté le rock reconnu du Ministère, pour entrer dans un univers plus intimiste, plus acoustique, mais tout aussi déjanté !
Le petit dernier, c’est « 2 point Zéro », un retour aux sources à base de Rock, d’électro et d’énergie brute.
Le Ministère, c’est aussi des collaborations avec Denis Athimon (Bob théâtre), Nicolas Reggiani, Matthieu Ballet, Christophe Gendreau…
Faire revivre la légende…
The Police : Un groupe anthologique qui aura profondément marqué le monde musical…
Toujours diffusé en radio plus de trente ans après la dissolution du groupe, riche en tubes planétaires, The Police a réussi a inventer un nouveau son, un nouveau style mêlant adroitement le rock le reggae, le funk…
Qui ne connaît pas aujourd’hui « Roxanne », « Message in a bottle » ou encore « Every breath you take » ?
Pour toutes ces bonnes raisons, Holy, le « Sting » du groupe, décide en 2013 de créerBack to The Police.
Le seul but du groupe : faire vivre ou revivre l’incroyable richesse musicale et la formidable énergie que pouvait déployer le célèbre trio anglais tant plébiscité en s’attachant le plus fidèlement possible à l’interprétation tant musicale que vocale…
The Police était un groupe de scène, c’est pourquoi Back to The Police interprète les versions « LIVE » du groupe.
Le public ne s’y trompe pas, Back to The Police surprend de fidélité.
http://www.backtothepolice.fr/
Sunny Jars : 5 potes de la région de Pontchâteau dans un style éclectique, blues-rock aux accents soul, parfois funk, ne se refusant aucun mélange pour surprendre les oreilles.
Passionnés de son , nous utilisons du matériel vintage, dans l’esprit des 60’ / 70’.
Nous avons une approche de création collaborative : chacun apporte sa pierreblues-rock à l’édifice pour composer, de celui qui apporte trois notes, celui qui griffonne quelques phrases sur son cahier, à ceux qui ajoutent, coupent, triturent pour trouver la bonne formule, celle qui apportera la mélodie, l’émotion recherchée.
De festival en café, sur scène ou chez vous, nous apportons notre bonheur de jouer ensemble, pour partager avec vous notre passion.
N’hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez voir débarquer nos ondes sonores.
Les frères Bertrand ne sont pas nés dans la marmite du Jazz et pourtant, depuis tout jeune, ils n’en démordent pas… Après des débuts « électriques » au son du garage, les trois frangins, autodidactes et polyinstrumentistes, ont tout mis en oeuvre pour faire de leurs passions une profession. Adeptes du « self-made », c’est autour de la musique que leurs talents s’articulent, mêlant composition, graphisme et photographie. Ils n’ont qu’une devise : trois frères, du jazz… et du swing !
Les choses sérieuses ont commencé en 2010, et les frères Bertrand ne s’arrêtent plus… Depuis la sortie de leur premier album Primo, en Mars 2014, Just for Swing a parcouru une bonne partie du grand ouest, avec près de 150 concerts au compteur. Toujours là pour surprendre et étonner leur public, ils se renouvellent aujourd’hui avec la sortie d’un deuxième album. Leur Charivari sonne comme un coup de pied dans la motte de swing ! Plein de surprises et de nouveautés, ce dernier opus se veut plus frais que jamais. On notera la participation de jeunes musiciens talentueux, le percussionniste Josselin Bellesoeur, l’accordéoniste Erwan Mellec, et bien-sûr leur violoniste Max Bédouelle.
http://www.justforswing.com/#actus
