En 2012, Didier débranche sa guitare électrique pour se consacrer à des spectacles plus « cérébraux », histoire de se faire
enfin passer pour un artiste crédible auprès d’une certaine frange de la gauche caviar, dite «France inter».
Le bilan de cette manœuvre étant mitigé, il décide, sur les conseils de sa mère, de remonter un
groupe de rock car c’est intellectuellement plus reposant pour lui et par voie de conséquence plus
accessible aux pauvres qui sont de loin la clientèle majoritaire dans notre pays
En plus de ses musiciens, vous le verrez accompagné par trois chanteuses, non pas qu’il estime
important d’honorer la parité dans les musiques actuelles mais comme il le dit si bien :
« Le meilleur moyen de ne pas se faire casser les couilles par les féministes c’est d’être leur patron »